MAUSA on the Bitche - Musée d'Art Urbain et du Street Art - Bitche

Léon B.

Inauguré en juillet 2023 au pied de la Citadelle de Bitche, le MAUSA On The Bitche allie art urbain et patrimoine historique. Sous la direction de Sébastien Belhomme, les anciens bâtiments du 4e régiment des Cuirassiers deviennent un espace dynamique où des artistes internationaux créent devant le public.

Cranio critique la société avec ses personnages bleus, Levalet intègre des scènes humoristiques, Sipros se distingue par ses portraits hyperréalistes, et Guy Denning aborde des thèmes sociaux à travers des œuvres émotionnelles. L’installation de Cren et Akte One, qui recrée un fragment du mur de Berlin, symbolise la réunification.

Le MAUSA offre une expérience immersive où le public peut admirer les œuvres et observer les artistes en création, devenant ainsi un lieu incontournable pour les passionnés d'art urbain et d'histoire.

Sonia G.

De qui se moque t-on dans ce musée ? Clairement des visiteurs. Curieux de découvrir les collections on se retrouve devant une porte close alors qu’on avait pris soin de contacter le musée avant de parcourir 80kms. Un problème technique manifestement 🙄. La personne part chercher les clés pour ouvrir… et ne revient jamais 🤨. A vous de voir … ou pas.

L M.

Super musée ! Nous l’avons visité à l’ouverture. Accueil très chaleureux et démarche engagée.

Brice O.

Lieu très intéressant, un plaisir de découvrir ces œuvres mais le fait d'avoir mis en place une entrée payante (10 euros) est vraiment dommage et va repousser beaucoup de monde..à mon humble avis ce tarif n'est pas justifié....

Gaelle G.

Un chouette moment avec les enfants si l'on aime les artistes street art. Des œuvres engagées ou plus légères et colorées.

Mélissa G.

10 euros. 10 œuvres. 10 minutes.
Aucune scénographie.
Un bâtiment historique qui ne sert que de prétexte : vide et glacial et où l'on expose aucun artiste local. Il n'y a manifestement aucune volonté de s'inscrire dans le territoire ou le patrimoine.
On nous explique que le propriétaire choisit seulement des artistes internationaux de son réseau et que les salles restent vident en attendant qu'ils acceptent l'invitation. Il n'y a PAS de "work in progress".
Et il n'existe apparemment pas de street artistes féminines selon lui : aucune femme n'est exposée.
Une manière d'appréhender l'art à l'ancienne : pas "old school" 😎 mais plutôt "vieux schnock".

Arnaud F.

Accueil sympathique mais très cher par rapport à ce qui est présenté. Il est annoncé des artistes en résidence mais je n'ai pu échanger avec personne. Le propriétaire n'est apparemment pas ouvert à une scène locale, pourtant très riche de diversité. 2 niveaux sur 3 sont vides...

Benjamin C.

Les œuvres sont très belles dans un vieux et grand bâtiment abandonné mais trop peu d'œuvres pour le prix demandé pour l'instant (avis d'octobre 24). Seul le premier étage est rempli pour l'instant